Entrevue de Nicolas Prévost avec Geneviève Pettersen à Noovo Info
Quand l’école a fait toutes les interventions possibles (rencontre des parents, des élèves, suspension), que le comportement ne change pas et que la situation devient complexe autant pour la personne intimidée que pour l’intimidateur, c’est là qu’il y a un vide. « On ne l’a pas, ce service-là. C’est là qu’il y a un flou. On n’a pas les outils et ils ne sont pas en nombre suffisant ».